Vleugels van Hoop
 
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Correspondance et amitié aboutissent dans un centre de formation.


‘Vleugels van Hoop’ a la recherche de ciseaux  textile pour le Burundi  

RONSE/SINT-LIEVENS-HOUTEM
Lut De Cremer est, entre autre, à la recherche de dix ciseaux de textile.
Un départ symbolique pour le premier projet de ‘Vleugels van Hoop’, 'Ailes d'espoir' une a.s.b.l. qui veut soutenir le développement des gens en Afrique Centrale.

Pour Lut l'amour pour l'Afrique a commencé sur les bancs d'école.  
'Quoi qu’il puisse arriver, nous restons en contact et qui sait, lorsque nous serons grandes nous nous rencontrerons. 'Cela ont écrit Lut De Cremer (13 ans) et Joséphine Bararwendera (16 ans) en 1966. Lut vivait à l'internat à Sint-Lievens-Houtem, Joséphine aussi,  à des milliers de kilomètres, au Burundi.   « Parfois ça durait des mois avant que nos lettres aient atteint leur destination », dit Lut. 'Et comme nous l’avions déjà senti à ce moment-là: les décennies suivantes ont vécues beaucoup d’événements.

Encore avant d’avoir achevée mes études en tant qu'infirmière, au Burundi les troubles ethniques éclatent et mon amie a dû fuir vers le Rwanda. Elle y a fondé une famille. En 1994 Joséphine, son mari et trois enfants ont a nouveau dû fuir, pour le génocide au Rwanda.
Finalement elle est revenue dans son village natal. Tout ce temps nous avons continué à nous écrire. Une correspondance qui, dans un premier temps, servait a améliorer notre connaissance du français, a abouti dans un amitié intense.

amitié amitiéJojo

Durant quelques années j’étais membre d'une organisation qui soutenait des projets, en faveur des orphelins, au Rwanda. Avec cinq autres membres  nous n'étions toutefois plus satisfait de la nature de l'aide. Personnellement ça me gênait un peu qu’en aidant des orphelins dans les orphelinats d'autres enfants restaient ‘dans le froid’. Aussi pour cette raison nous avons commencé, le mois précédent, l'association ‘Vleugels van Hoop’.

L'a.s.b.l. veut soutenir, à petite échelle, des projets qui serviront a toute une communauté. Le grand avantage est que nous connaissons des personnes sur place, comme Joséphine, dans lesquelles nous avons toute confiance et qui suivront personnellement les projets. Nous avons choisi de commencer la réalisation d'un centre de formation spécialisé ‘couture’ à Mabayi.
Mabayi est une commune, environ de même grandeur de Ronse, où beaucoup d'élèves mettent précoce un point derrière leur parcours scolaire. Souvent parce qu'ils sont l’unique ‘gagne-pain’. Si déjà ils n'arrivent pas sur le mauvais chemin, ils passeront leur vie, sans enseignement et travailleront pour un  salaire minuscule.
Une association constituée de dix-huit femmes, veut maintenant donner a ces jeunes une formation de couture, ce qui leurs permettra d’augmenter leur niveau de vie.

‘Les frais du projet au total sont estimés à 3.500 euros’, raconte Lut. 
'Cette somme n’est pas vraiment  gigantesque. Pour la population locale un budget toutefois impossible à atteindre. C’est pour cette raison que nous voulons les aider. Demi janvier 2008 nous voulons mettre le projet en route. Comme cadeau symbolique, nous sommes à la recherche d'une dizaine de bons ciseaux de textile. Des ciseaux ont été autrefois utilisé fréquemment dans l'industrie de textile a Ronse, mais je suppose que maintenant ils se trouvent sous une couche de poussière quelque part.
Au Burundi, ils seraient vraiment très utiles’.
Les gens qui veulent aider Lut, appelent le numéro 055-21.70.92
ou peuvent verser sur 001-5300142-41   


Traduction Texte de Lauwereyns Koen
– Journal ‘Het Volk’ ‘Het Nieuwsblad’ - 05.12.2007

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